Il était une fois les familles Kedous, Lebouc, Lenoir, Najar

Claudine Lenoir-Lebouc au Laboratoire de l'énergie solaire CNRS - Four solaire de Montlouis le 19 mai 1952

Identifiant Gramps	O0610
Type de fichier	image/jpeg
Date	19. mai 1952

Notes

Note sur l'individu

Claudine Lenoir après ses études de chimie a travaillé comme technicienne chimiste au CNRS dans l'équipe du professeur Trombe :
- à Meudon où elle s'occupait de séparation des terres rares,
- au four solaire de Montlouis dans les Pyrénées Orientales, entre sensiblement 1952 et 1954, où elle faisait partie de l'équipe des pionniers de "l'énergie solaire".

L'activité de Claudine Lenoir au CNRS a duré d'environ 1950 à 1960.
Hypothèses pour 1950 : baccalauréat à 20 ans et études de technicienne chimiste d'une durée de 2 ans.
1960 correspond à son congé de maternité pour la naissance de son fils Didier Lebouc. Son mari Bernard Lebouc étant muté par son entreprise dans l'Oise à Ribécourt peu après cette naissance, Claudine Lenoir cessera alors son activité professionnelle (autres temps, autre moeurs...).

Références

Claudine Mauricette Lenoir [I0005]

Sources et remerciements

Cette généalogie est le fruit de recherches personnelles, d'apports de nombreuses personnes et de multiples archives.
J'adresse mes sincères remerciements à chaque contributeur, se reporter à la page Sources pour une liste complète.

Tunisie et Empire Ottoman : branches Najar et Kedous / Kdous originaires de Kelibia dans le Cap Bon

L'état-civil n'a été mis en place en Tunisie qu'après l'indépendance nationale de 1956. Aussi les données généalogiques tunisiennes des branches Kedous / Kdous et Najar de Kelibia dans le Cap Bon proviennent presque exclusivement de la mémoire familiale.
Les hypothèses sur l'origine ottomane et militaire de Othman Kedous / Osman Kdous (notamment sa ville natale de Gediz / Kedous dans la province actuelle de Kütahya en Turquie) proviennent de recoupements entre la tradition familiale, les archives accessibles ainsi que des éléments historiques.
Othman Kedous / Osman Kdous, l'ancêtre de la lignée Kedous, se serait engagé comme militaire en Turquie pour servir dans les troupes du Bey de Tunis et aurait été en garnison au fort de Kelibia où il aurait fait souche.
L'origine britannique de la famille de Kelibia Lengliz / Lingliz est encore plus hypothétique. Toute donnée permettant de rendre plus fiables ces informations généalogiques tunisiennes et ottomanes est, par avance, la bienvenue.

Leopold Choppick et Madeleine Wolf : migrants sans-papiers venant d'Alsace ou d'Europe Centrale

Pour cerner l'origine de mon ascendant Léopold Choppick, cette base généalogique recense les familles ayant pour patronyme Choppick - Schobig - Schoppig - Tsopik et leur nombreux équivalents phonétiques.
Une partie de cette généalogie (noms de famille Schobig et Schoppig) tire son origine des familles juives d'Alsace (Haut Rhin [68]) et du Jura suisse (localités de Hagenthal le Haut, Hagenbach, Délemont).
Une autre part est parisienne (noms de famille Chopic, Choppick, Choppi, Choppy) avec une origine pour l'instant mal déterminée, soit alsacienne, soit d'Europe Centrale et Orientale (très probablement des migrants juifs "sans papiers" venant du territoire des actuelles Pologne, Ukraine ou Slovaquie).
Toute information complétant, validant ou invalidant ces généalogies, toponymies et anthroponymies très incertaines est, par avance, la bienvenue.
J'espère aussi réussir à identifier les invités présents sur la photo du mariage à Paris en 1925 de mes grands-parents René Lenoir et Jeanne Pivet, fille de Rachel Louise Choppick et Jean-Paul Pivet.

Branche Lenoir dans les Ardennes en France et en Belgique

La branche Lenoir vient du département français des Ardennes (08), notamment des villages et bourgades de Braux/ Levrezy / Bogny sur Meuse, Warcq, Hargnies, Nouvion sur Meuse.
De nombreuses ramifications existent avec les villages ardennais voisins de Belgique dans les provinces de Namur et de Luxembourg, à l'extérieur de la pointe de Givet, comme Alle sur Semois, Bohan, Froidfontaine, Membre, Sugny, Vencimont.

Généalogies antiques ou médiévales

Les personnes les plus lointaines de cette généalogie ont une origine souvent hasardeuse.
Beaucoup sont Arméniens, Byzantins, Celtes, Ecossais, Egyptiens, Espagnols, Francs, Gascons, Géorgiens, Iraniens, Irlandais, Italiens, Ostrogoths, Russes, Varègues, Vikings, Wisigoths et plus généralement "barbares" de tout poil.
Beaucoup de personnages rapportés ici sont mythiques voire oniriques, à l'instar de la vache sacrée non pas indienne mais scandinave Audhumla.
De la même manière, des relations familiales et filiations sont mal ou même pas du tout attestées. Les dates et les nombres de générations entre personnes sont parfois incohérents. Volontairement, j'ai choisi de publier ces éléments fabuleux car les mythes font autant partie de notre histoire que nos ancêtres réels.
De plus, le glissement très graduel de la réalité à la légende rend difficile la détermination d'une limite précise aux "véritables" ancêtres. Ainsi, par exemple, les sagas nordiques se prennent souvent les pieds dans le tapis en fourrure de renne.
La personne raisonnablement attestée la plus ancienne de cette généalogie est, actuellement, Pharnabaze Ier le Grand d'Ibérie, roi géorgien né vers 309 avant Jesus Christ.
L'individu mythique le plus lointain est, à ce jour, Sru, un celte de Galice en Espagne, situé à plus de 100 générations de l'époque actuelle, arrière-grand-père du roi légendaire et mythologique galicien Breogán dont la lignée serait, selon la tradition, allé conquérir l'Irlande.