Chronique : critique des prévisions béates de Jeremy Rifkin

J'ai entamé et ne finirai pas la lecture du livre de Jeremy Rifkin la nouvelle société du coût marginal zéro.

Ce gourou autoproclamé et très tarifé de la prospective, conseiller apprécié des grands de ce monde, produit un indigeste mélange de positivisme béat, d'écologie radicale et de déni des ordres de grandeurs qui me hérisse le poil.

La thèse principale de Jeremy Rifkin - l'éclipse du capitalisme - ne tient pas la route à mon humble avis.
J'ai, dans une chronique de mon blog Humeurs Mondialisées, exemples à l'appui, cherché à démonter les prévisions de ce nouveau prophète.

Jeremy Rifkin

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Didier Lebouc